République
Française
Documentation Datafoncier
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Informations principales | |
---|---|
Nom | nloccomrdc |
Description | Nombre de locaux d’activité secondaire ou tertiaire situés au rez-de-chaussée (Somme du champ nloccomrdc) |
Fiabilité | |
Position | 12 |
Type | Entier |
Contrainte |
⚠️ Cette fiche s'appuie sur des définitions présentées dans la première partie du guide. La lecture de cette première partie constitue un préalable indispensable.
ℹ️ Les éléments présentés dans cette fiche se basent sur les connaissances actuelles issues de l'expertise du Cerema et de la communauté d'utilisateurs des données. Si les informations présentées vous semblent contradictoires avec les éléments en votre possession, merci de nous contacter afin d’éclaircir cette différence ou d’améliorer ces fiches.
dniv indique l'étage du local. Elle est associée à dnbniv
et à nbetagemax
, qui indiquent le nombre de niveaux du bâtiment qui abrite le local.
Lors de la création (ou de la modification) d’un local, le propriétaire remplit une déclaration fiscale. Pour cela, il existe des formulaires différents selon le type de local (individuel ou collectif). Concernant le niveau, les informations demandées sont différentes selon le type de local :
pour les maisons individuelles, il est demandé le nombre de niveaux total. Cependant, l’étage de la construction n’est pas demandée. En pratique, la variable dniv est donc toujours égale à « 00 » pour les maisons individuelles1.
Lors de la création d’immeubles collectifs, il faut faire une déclaration pour l’enveloppe du bâtiment, et une déclaration pour chaque local à l’intérieur de celui-ci. Le nombre de niveaux total dnbniv est déclaré lors de la création de l’enveloppe, et l’étage du local lors de la déclaration de création de chaque local.
Il est important de noter que la variable dnbniv est égale au nombre de niveaux aménagés, alors que dniv est égal à l’étage du local. Un appartement au 1er étage sur les 7 du bâtiment aura donc en théorie un dniv égal à 1 et dnbniv égal à 8 (7 étages plus le rez-de-chaussée).
Pour déterminer la hauteur d’un immeuble collectif, il est donc recommandé de prendre la variable nbetagemax
, qui reprend le maximum des dniv du bâtiment en excluant les valeurs pouvant représenter les sous-sols. Cette variable est présente dans la table des locaux depuis 2018.
Ainsi, si le bâtiment fiscal contient des locaux situés aux étages 1,2,3 et 5, nbetagemax
sera égal à 5.
Ce retraitement permet de fiabiliser la variable dnbniv
: nbetagemax
doit donc être utilisée par défaut à la place de dnbniv
dès que l'on travaille sur le collectif.
La variable dniv
est composée de deux chiffres. Les niveaux enterrés (-1 , -2) prennent souvent la valeur « 81 », « 82 », etc. Il s’agit de pratiques répandues, mais pour lesquelles il n’existe pas d’harmonisation nationale. À un niveau local, on peut par exemple observer que certains services indiquent les niveaux enterrés avec des codes de type « 99 », « 98 », etc.
La variable nbnivssol, présente depuis 2022 dans la table des locaux, reprend le nombre de niveau souterrains du bâtiment. Cette variable est calculée en prenant le nombre de locaux avec un étage supérieur ou égal à 81. Il est à noter qu'en de rares cas, les sous sols sont représentés par des chiffres inférieurs (61, 41...). Ainsi, la variable nbnivssol peut être minorante.
Table | Variable | Description |
---|---|---|
pb40_pevprincipale | dnbniv | Nombre de niveaux |
pb0010_local | dnbniv | Nombre de niveaux du batiment fiscal |
batiment | dnbniv | Nombre de niveaux du bâtiment |
Table | Variable | Description |
---|---|---|
pb0010_local | nbetagemax | Nombre de niveaux du batiment fiscal rectifié (retraitement Cerema) |
pb0010_local | nbnivssol | Nombre de sous-sols du batiment fiscal (retraitement Cerema) |
pnb10_parcelle | nloccomrdc | Nombre de locaux de type commercial ou industriel situés au rez de chaussée |
Les variables dniv
et dnbniv
sont remplies à 100 %
La fiabilité des variables dépend du type de local.
Pour les locaux individuels, l’étage du local (dniv
) n'est pas exploitable (il vaut généralement « 00 »). On peut cependant se référer à la variable dnbniv
, plus fiable.
Pour les locaux situés dans un immeuble collectif, le champ dniv
est fiable. A l’inverse, le champ dnbniv
est souvent peu fiable (valeurs aberrantes, trop faibles, ou égales à « 00 »).
nbetagemax
seulEn utilisant le nombre d’étages reconstitués, on peut rechercher les immeubles de plus 7 étages. La variable est aussi susceptible d'alimenter des démarches d'épannelage voire de la modélisation 3D de bâtiments
Avec dteloc, on peut rechercher les habitations ou les activités en rez-de-chaussée. Avec les surfaces, dnbniv peut être utile pour estimer l’emprise au sol (surface réelle divisées par le nombre d’étages). Nbetagemax peut être utilisé avec nlocal pour estimer des gabarits et formes urbaines. Avec les variables relatives à l'ascenseur, améliorer l'estimation des prix et observer les locaux plus difficiles d'accès.
Part de locaux situés en rez-de-chaussée (dniv = '00') sur la totalité des locaux par région
region | Maison | Appartement | Dépendance | Activité |
---|---|---|---|---|
Auvergne-Rhône-Alpes | 99,8% | 21,8% | 50,4% | 81,6% |
Bourgogne-Franche-Comté | 99,9% | 28,4% | 67,3% | 91,3% |
Bretagne | 99,9% | 25,9% | 68,0% | 88,9% |
Centre-Val de Loire | 99,8% | 25,5% | 76,7% | 90,8% |
Corse | 99,6% | 31,2% | 48,3% | 86,3% |
Grand Est | 99,9% | 26,0% | 59,3% | 86,9% |
Guadeloupe | 99,1% | 42,2% | 82,0% | 80,0% |
Guyane | 98,5% | 44,3% | 74,0% | 92,7% |
Hauts-de-France | 99,8% | 24,8% | 76,8% | 90,7% |
La Réunion | 99,7% | 31,5% | 61,6% | 91,4% |
Martinique | 99,5% | 35,4% | 59,9% | 73,9% |
Mayotte | 91,0% | 59,3% | 89,9% | 95,9% |
Normandie | 99,8% | 23,3% | 67,6% | 88,6% |
Nouvelle-Aquitaine | 99,8% | 29,8% | 76,7% | 91,0% |
Occitanie | 99,8% | 27,1% | 65,7% | 86,7% |
Pays de la Loire | 99,8% | 24,3% | 70,3% | 89,2% |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 99,7% | 23,2% | 48,6% | 78,4% |
Île-de-France | 99,9% | 15,9% | 29,2% | 68,1% |
Total France | 99,8% | 22,9% | 56,4% | 83,4% |
Nombre de locaux par dniv déclaré et par type au niveau national.
Nb de niveaux | Maison | Appartement | Dépendance | Activité |
---|---|---|---|---|
00 | 20386617 | 4130691 | 18424758 | 3328501 |
01 | 35991 | 4643901 | 2729477 | 213884 |
02 | 2914 | 3529467 | 2080785 | 102149 |
03 | 371 | 2347822 | 1530071 | 56777 |
04 | 42 | 1380133 | 1003874 | 33484 |
05 | 13 | 721930 | 532832 | 20446 |
06 | 6 | 470513 | 387744 | 12330 |
07 | 7 | 257433 | 232035 | 6388 |
08 | 2 | 151385 | 132817 | 3431 |
09 | 2 | 95785 | 82471 | 2040 |
10 | 16 | 66271 | 56985 | 947 |
11-79 | 58 | 162816 | 133844 | 4931 |
80 | 16 | 444 | 19160 | 1213 |
81 | 674 | 73034 | 4321370 | 133538 |
82 | 7 | 8071 | 759967 | 40933 |
83 | 0 | 2156 | 151683 | 15149 |
84 | 0 | 561 | 40367 | 7504 |
85 | 0 | 159 | 12828 | 3473 |
86 | 0 | 57 | 5389 | 1847 |
87 | 0 | 17 | 1659 | 810 |
88 | 0 | 37 | 3138 | 805 |
89 | 1 | 23 | 1782 | 131 |
90 | 2 | 43 | 1031 | 178 |
91 | 0 | 372 | 4641 | 341 |
92 | 0 | 29 | 1338 | 131 |
93 | 0 | 35 | 305 | 115 |
94 | 0 | 1 | 160 | 1 |
95 | 0 | 0 | 3 | 4 |
96 | 0 | 0 | 5 | 2 |
97 | 0 | 0 | 6 | 2 |
98 | 1 | 4 | 864 | 20 |
99 | 12 | 198 | 10795 | 1185 |
dniv
peut cependant être différent de « 00 » dans un nombre de cas très réduit (inférieur à 0,2 % sur le territoire français en 2016) ↩
⚠️ Cette fiche s'appuie sur des définitions présentées dans la première partie du guide. La lecture de cette première partie constitue un préalable indispensable.
ℹ️ Les éléments présentés dans cette fiche se basent sur les connaissances actuelles issues de l'expertise du Cerema et de la communauté d'utilisateurs des données. Si les informations présentées vous semblent contradictoires avec les éléments en votre possession, merci de nous contacter afin d’éclaircir cette différence ou d’améliorer ces fiches.
dteloc est une variable explicitant le type, c’est-à-dire la forme du local. La définition exacte de la "forme" est données dans la partie sur les propriétés bâties.
Modalité | Valeur |
---|---|
1 | MAISON |
2 | APPARTEMENT |
3 | DEPENDANCES |
4 | LOCAL COMMERCIAL OU INDUSTRIEL |
5 | DOM = MAISON SANS DESCRIPTIF |
6 | DOM = APPARTEMENT SANS DESCRIPTIF |
7 | DOM = DEPENDANCE SANS DESCRIPTIF |
8 | LOCAUX DE GROUPE 4 : EVALUATION TARIFAIRE (NON PRESENTE DEPUIS 94) |
Table | Variable | Description | Calcul / Remarques |
---|---|---|---|
pb0010_local | dteloctxt | intitulé du type de local | |
pb0010_local | logh | Logement d’habitation | t = oui, sinon blanc – Calculé depuis la table pb21 en prenant dteloc=’1’ ou ‘2’, dnupev=’001’ et ccoaff=’H’. Variable à privilégier en cas de doute sur la définition du logement |
pb0010_local | loghmais | Logements d’habitation de type maison | t = oui, sinon blanc – Calculé depuis la table pb21 en prenant dteloc=’1’ , dnupev=’001’ et ccoaff=’H’. Variable à privilégier en cas de doute sur la définition du logement |
pb0010_local | loghappt | Logements d’habitation de type appartement | t = oui, sinon blanc – Calculé depuis la table pb21 en prenant dteloc= ‘2’, dnupev=’001’ et ccoaff=’H’. Variable à privilégier en cas de doute sur la définition du logement |
pnb10_parcelle | nloccom | Nombre de locaux de type commercial ou industriel | Utilisation de l'attribut dteloc=4 |
pnb10_parcelle | nloccomrdc | Nombre de locaux de type commercial ou industriel situés au rez de chaussée | Utilisation de l'attribut dteloc=4 et dniv=00 |
pnb10_parcelle | nloccomter | Nombre de locaux d’activité tertiaire (commercial, bureau, etc.) | Utilisation de l'attribut dteloc=4 et cconlc dans ('CA','CD','CM','CH','ME','CB','AT','AU','DC','SM') |
pnb10_parcelle | ncomtersd | Nombre de locaux d’activité tertiaire sans dépendances | Utilisation de l'attribut dteloc=4 et cconlc dans (‘CA’,’CM’,’CB’,’CH’,’ME’,’SM’) |
pnb10_parcelle | ncomterdep | Nombre de dépendances d’activité tertiaire | Utilisation de l'attribut dteloc=4 et cconlc dans (‘CD’,’DC’) |
pnb10_parcelle | nloccomsec | Nombre de locaux d’activité secondaire (industrie) | Utilisation de l'attribut dteloc=4 et cconlc dans ('U','US','UN','UE','UG') |
pnb10_parcelle | nlocdep | Nombre de locaux de type dépendances | Utilisation de l'attribut dteloc=3 |
pnb10_parcelle | tlocdomin | Type de local dominant sur la parcelle (en nombre) | Valeurs possibles : MAISON, APPARTEMENT, ACTIVITE (COMMERCIAL), DEPENDANCE, MIXTE ou AUCUN LOCAL |
pnb10_parcelle | nlogh | Nombre de logements d’habitation | Provient de logh de la table des locaux – Calculé depuis la table pb21 en prenant dteloc=’1’ ou ‘2’, dnupev=’001’ et ccoaff=’H’. Variable à privilégier en cas de doute sur la définition du logement |
pnb10_parcelle | nloghmais | Nombre de logements d’habitation de type maison | A partir de loghmais de la table des locaux (logh = 't' et dteloc = 1) |
pnb10_parcelle | nloghappt | Nombre de logements d’habitation de type appartement | A partir de loghmais de la table des locaux (logh = 't' et dteloc = 2) |
La variable dteloc est renseignée à 100 %.
On entend par « forme » la forme physique du local, indépendamment de son occupation. Une maison occupée par une profession libérale ou un artisan sera ainsi classée comme « maison ». À l’inverse, une loge de gardien, ou un loft aménagé dans une ancienne usine seront considérés comme « activité ». La forme du local est déterminée par la variable dteloc
On entend par « occupation » du local l’usage qui en est réellement fait. Dans les exemples précédents, une loge de gardien est considérée comme de l’habitation (puisqu’elle est utilisée pour de l’habitation).
Il est à noter que ces notions, très importantes dans les premiers millésimes des Fichiers fonciers, tendent à disparaitre. En effet, les impôts ont tendance à modifier la variable dteloc lors de la transformation d'un local d'activité en habitation (et inversement). Dans les derniers millésimes, les notions de "forme" et "d'occupation" convergent de plus en plus.
Le rapport Certu-Ieti 1 rappelle que les données sont déclaratives et peuvent ne pas correspondre à la réalité. « Les données de ce fichier sont celles déclarées par les propriétaires à l’achèvement des travaux de construction ou d’aménagement d’un bâtiment existant (formulaires H1, H2, etc.). Pour inciter les propriétaires à envoyer [leurs] déclarations, la DGFiP tente de répertorier les différents chantiers et envoie des relances par courrier régulièrement jusqu’à obtenir la déclaration. L’inventaire crée dans la base cadastre, se fait à partir de deux sources d’informations : les données des permis de construire fournies par les DDT(M) et les tournées des géomètres du cadastre2.
La variable dteloc est ainsi initialisée en fonction du formulaire utilisé (H1, H2, etc.) pour déclarer le local.
Les informations qui figurent dans ce fichier sont donc déclaratives, elles ne sont pas vérifiées de manière exhaustive. Leur exactitude n’est donc pas garantie par la DGFiP. Toutefois, la DGFiP réalise des vérifications par plusieurs méthodes :
De manière générale, les retours terrains témoignent d’une très bonne fiabilité de la variable dteloc.
Il est important de bien définir ce qu’est un logement. Pour les Fichiers fonciers :
Dans ce cadre, dteloc sert à repérer les logements (première définition). Il est cependant plutôt conseillé d’utiliser la 3e définition (variable logh).
Des différences entre le nombre de logements de l’Insee et le nombre de logements d’habitation (définition la plus proche de l’Insee) dans les Fichiers fonciers sont observées . Il s’agit avant tout d’une différence entre les données INSEE (déclaratives via un recensement et les données fiscales. Ces différences sont le plupart du temps minimes (de l’ordre de 1%).
Les dépendances sont uniquement liées à une occupation d’habitation : une dépendance d'activité (garage pour un artisan par exemple) sera déclarée en tant que dteloc = 4. Si une pev n'est pas située sur le même « groupement topographique » 3 que le local dont elle dépend, elle sera recensée comme un local en soi, donc classée en dépendance dans dteloc (par exemple local isolé ou garage séparé par une route). Sinon la pev sera associée à la pev partie principale d'habitation et elles ne formeront qu'un local (maison ou appartement). Ce comportement est différent pour les millésimes avant 2022, pour lesquels un lcoal pouvait posséder 2 pev.
Les dépendances d'activité sont considérées comme des activités et non des dépendances. La variable typeact permet de les différencier.
On peut estimer le nombre de locaux d'activité sur un territoire en utilisant dteloc=4. Attention cependant, les dépendances d'activité seront comptabilisées comme des locaux d'activité à part entière, au même titre que certains équipements de fonctionnement (antenne relais, péages, etc.). Pour différencier les dépendances des locaux d’activité, il est possible d'utiliser la variable cconlc ou typeact.
De même, il faut rappeler que certains locaux d’activités sont très hétérogènes. Un local de stockage dans un centre commercial compte donc autant qu’un hangar de 5000 m². Dans ce cadre, le dénombrement pur de locaux d’activités peut être trompeur.
D’autres variables donnent des renseignements sur la nature ou l'usage des locaux. Elles constituent des nomenclatures plus fines, mais parfois moins bien renseignées :
dteloc
seuldcntpa
(surface de la parcelle), représenter la densité de logements (nombre de logements sur la surface de la parcelle). Dans ce cadre, il est conseillé d’utiliser la table agrégée « TUP », reprenant les unités foncières et copropriétés multiparcellaires.jannath
(date d'achèvement du local), représenter par rétropolation les dynamiques de construction résidentielle (à partir du dernier millésime des fichiers fonciers et l’année de construction des locaux on peut déduire le nombre de construction neuves année par année). Par exemple, montrer le nombre de logements construits par année et les géolocaliser à la parcelle.
region | Maisons | Appartements | Dépendances | Locaux commerciaux ou industriels |
---|---|---|---|---|
Auvergne-Rhône-Alpes | 23% (2 232 055) | 26% (2 577 966) | 46% (4 541 145) | 6% (563 388) |
Bourgogne-Franche-Comté | 31% (1 025 284) | 19% (647 310) | 45% (1 510 333) | 5% (175 330) |
Bretagne | 40% (1 434 678) | 17% (616 352) | 37% (1 335 777) | 5% (191 846) |
Centre-Val de Loire | 36% (1 050 308) | 15% (422 094) | 44% (1 271 027) | 5% (146 341) |
Corse | 23% (100 828) | 36% (159 105) | 35% (155 966) | 7% (28 967) |
Grand Est | 25% (1 593 108) | 23% (1 428 685) | 47% (3 001 070) | 5% (303 042) |
Guadeloupe | 52% (153 113) | 27% (79 089) | 11% (31 992) | 10% (29 972) |
Guyane | 45% (47 879) | 34% (35 648) | 13% (13 678) | 8% (8 629) |
Hauts-de-France | 39% (2 094 033) | 17% (921 211) | 39% (2 137 196) | 5% (278 325) |
La Réunion | 45% (251 983) | 26% (145 709) | 23% (129 722) | 6% (33 371) |
Martinique | 41% (116 623) | 35% (98 204) | 16% (46 299) | 8% (23 092) |
Mayotte | 77% (33 892) | 9% (3 904) | 5% (1 992) | 10% (4 443) |
Normandie | 36% (1 257 905) | 18% (640 693) | 40% (1 391 806) | 5% (175 098) |
Nouvelle-Aquitaine | 38% (2 600 800) | 17% (1 143 203) | 40% (2 749 444) | 6% (379 220) |
Occitanie | 31% (2 222 192) | 23% (1 620 192) | 40% (2 863 501) | 6% (399 483) |
Pays de la Loire | 38% (1 506 656) | 16% (640 193) | 41% (1 645 303) | 5% (208 121) |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 17% (1 190 679) | 31% (2 143 743) | 47% (3 272 599) | 5% (361 593) |
Île-de-France | 11% (1 514 736) | 35% (4 720 087) | 49% (6 565 334) | 5% (682 429) |
Total France | 27% (20 426 752) | 24% (18 043 388) | 43% (32 664 184) | 5% (3 992 690) |
Répartition des locaux par type de local et par région
DGUHC, Certu, IETI Consultants, Les Fichiers fonciers standards délivrés par la DGI, appelés communément fichiers MAJIC II, Volume 2 : Annexe du guide méthodologique pour leur utilisation, avril 2008, 60 p. ↩
Ce sont dorénavant les communes ou EPCI instructeur des permis de construire qui font remonter les données au ministère en charge de l’urbanisme. ↩
Pour plus de détails, se référer à la définition du local, à la fiche cconad et à http://bofip.impots.gouv.fr/bofip/2017-PGP.html ↩